Source : wowwiki
LES TAURENS
Les taurens, (Shu’Halo en Taurahe, leur langue natale) sont d’imposants créatures humanoïdes, vivant dans les vertes et grasses plaines de Mulgore, au centre de Kalimdor.
Les taurens sont larges et musclés, et possède une apparence rappelant celle des bovins, complétée par des sabots, et des cornes. Ils sont généralement haut de six et demi à neuf pieds (approximativement entre deux et deux mètres soixante dix), et pèsent entre quatre cent et neuf cents livres (approximativement entre cent quatre vingt et trois cents vingt kilos).
Leur large corps est couvert d’une fine et courte fourrure, allant du noir jusqu’au gris, au blanc, au rouge, au marron, et de toute les combinaisons possibles entre ces couleurs, ou entre différentes teintes.
Après des générations d’une existence nomade, les taurens ont récemment établis une communauté permanente en Mulgore, et dans les Tarides.
Introduction.
Les plaines de Kalimdor ont longtemps été la demeure de ce peuple nomade. Le peuple Tauren est chamanique, chasseur, et guerrier, et a depuis très longtemps développé une culture très complexe, ainsi qu’un mode de vie naturel sans utiliser l’aide de la pierre, de l’acier, et même sans partir en guerre dans le but d’agrandir leur territoire. Il ne faut cependant pas croire que le peuple Tauren est pacifique, car ils sont capable d’une grande violence envers ceux qui les provoquent ou les attaquent.
Ils sont, en un mot, stoïques, et incarnent la force tranquille et silencieuse, méditant sur la nature ou sur leur âme.
Leur force, et leur taille, amènent n’importe qui à comprendre « pourquoi » les taurens représentent un peuple tranquille, mais dangereux.
Les taurens ne parlent rarement, et uniquement s’ils ont une bonne raison pour le faire. Ils préfèrent agir instinctivement plutôt que de perdre leur temps en bavardage.
Cependant, quand un Tauren s’attache à un compagnon, ils se montrent bien plus ouvert et peuvent même se lancer dans de grands échanges de paroles.
Même depuis que les taurens aient rejoins les autres peuples de la horde, et se soient mélangés avec orcs, trolls, réprouvés et autre elfes de sang, ils restent silencieux, et peuvent paraître ennuyeux pour ceux qui n’arrivent pas à gagner leur confiance.
Les taurens n’ont aucun amour pour les effusions de sang, car leur profonde croyance ne laisse pas de place pour la guerre.
Les sages et anciens d’une tribu règlent généralement et paisiblement la plupart des problèmes. Sinon, deux taurens peuvent résoudre un conflit par un échange rituel, qui ressemble fortement à un duel.
Depuis qu’il a joint la horde, le peuple Tauren a été impliqué dans de nombreux conflits, créant une forte demande pour leurs guerriers et soigneurs exceptionnellement fidèles, et résistants.
De nombreux jeunes taurens passent désormais leur temps à conter ou imaginer leurs exploits sur les champs de bataille passés, et à venir.
Prendre la vie d’un autre, homme ou animal, est un acte ayant une signification importante pour un Tauren responsable.
Histoire.
Les taurens possèdent une longue tradition orale, qui a traversé les âge de générations en générations. L’exactitude de leurs contes et légendes, en l’absence d’écrits, est inconnue. Néanmoins, leurs nombreuses histoires étant en relation avec les grands événements connus par le monde, il faut les considérer comme ayant une crédibilité certaine.
La race Tauren est aussi vieille, si ce n’est plus vieille encore que les elfes de la nuit. Ils ont un profond attachement en la nature et aux esprits élémentaires, tout comme de nombreux elfes de la nuit.
Ainsi, leur société est essentiellement basée sur le chamanisme. Ils vivent pour servir la nature, et tentent de maintenir l’équilibre délicat entre la nature sauvage de leur terre, et l’agitation des esprits élémentaires. De plus, de nombreux éléments druidiques, enseignés par Cénarius, puis oubliés durant des millénaires, reviennent désormais à la surface, soulignant encore plus leur amour et leur respect pour l’équilibre naturel et spirituel.
La présence de nombreux contes concernant Cénarius, avant même qu’il ne soit connu des elfes (la trilogie de la guerre des anciens montre que les elfes de la nuit considéraient Cénarius comme un conte pour enfant, avant qu’il ne se joigne à eux durant la guerre), et qui sont confirmés par d’autres sources crédibles indique qu’ils étaient civilisés et présents en Kalimdor avant la monté, et peut être même l’existence du peuple elfe en Kalimdor. La naissance de Cénarius y est même présente, et cette version confirmée par les sages et historiens elfes de la nuit, aussi bien que dans le livre « the sundering » (traduit par la fracture ? Si vous avez le tire original en français, merci de me le faire savoir) écrit par Richard A Knaak.
Guerre des anciens.
Selon la fresque historique basique, les taurens n’ont pas pris part à la guerre des anciens, les premières batailles contre la légion ardent en ce monde, environs dix milles ans plus tôt.
Cependant, Durant l’altération de la trame du temps, altération due à l’intervention de Krasus et de ses compagnons durant cette même guerre, ils finirent par joindre l’alliance contre la légion ardente, convaincus par le dragon mage Krasus de l’importance de cette guerre, et la nécessité de la présence des taurens.
Le commandant elfe de la nuit Desdel Oeilétoile (stareye, avez vous la traductions exact du nom français ?) refusa tout d’abord d’utiliser les taurens et leur incroyable potentiel physique, sous prétexte qu’ils tueraient des elfes de la nuit, et qu’ils étaient aussi impitoyable que les démons. Les Taurens étaient alors commandés par Huln Haute-Montagne. Après la perte « tragique » du commandant, les taurens furent redéployés au dernier moment par le nouveau commandant, Jarod Chantelombre. Ceux ayant survécus à la guerre ont gardé de bonnes ou du moins cordiales relations, avec les sentinelles.
La nouvelle horde.
D’innombrables générations après la guerre, les taurens ont courus les plaines des Tarides, chassant le kodo sacré et approchant la sagesse de leur divinité séculaire, la terre-mère.
Leurs cités de tentes étaient établies autour du paysage de Kalimdor, et changeaient de place avec les saisons ou selon le temps. Leurs tribus nomades ne furent unis que dans une haine commune de leurs maraudeurs ennemis, les centaures.
Au crépuscule de l’existence du peuple Tauren, le grand chef Cairne Sabot de Sang, désespérant de trouver de l’aide, se tourna vers les étrange « peaux vertes guerrières de l’autre côté des mers ».
Rapidement, Cairne se lia d’amitié avec le Chef de guerre Thrall et les autres orcs, et reconnu qu’ils partageaient le même amour pour l’honneur et la bataille.
De leur côté, les orcs et trolls sombrelances qui composent la nouvelle Horde ont trouvés beaucoup en commun avec les taurens. Chacun des peuples voulaient revenir à une culture chamanique complète, et les taurens, longtemps versés dans les voies des esprits et de la nature étaient bien préparés pour apporter conseil et support au chamanisme renaissant de la Horde.
Avec l’aide des orcs, Cairne et sa tribu Sabot de Sang ont été capable de faire reculer les centaures, puis de réclamer les grasses et vertes plaines de Mulgore. Pour la première en fois en des millénaires d’existence, les taurens possédaient une terre à nommer leur.
Pour cela, ils se sentirent débiteurs de leurs alliés, pour l’éternité.
Au sommet des pics des Pitons du Tonnerre, Cairne à construit le refuge dont il rêvait pour son peuple, un lieu ou taurens de toutes les tribus seraient les bienvenus. Puis, le temps passant, les tribus taurens s’unirent naturellement sous le commandement de Cairne.
Certes, certaines tribus sont en désaccord avec le chemin que fait suivre Cairne à son peuple, mais ils sont tous d’accord pour dire que leur chef est le candidat le plus apte à le mener vers un avenir meilleur.
Pour aider Cairne dans son devoir de chef, on retrouve l’archidruide Hamuul Totem-Runique et la sage Magatha Totem-Sinistre.
Bien que les taurens aient récupérés leurs terres, et se battent aux côtés de la horde, tout n’est pas si paisible au sein du peuple.
Ces derniers jours, la tribu Totem-Sinistre tente d’usurper le rôle de Cairne, et ils complotent pour le renverser et prendre sa suite.
Dans le même temps, le rêve émeraude, royaume du vol vert et de sa maîtresse Ysera, est atteint par un mal étrange. Le légendaire Malfurion est bloqué à l’intérieur, et les dragons verts commencent à agir de manière étrange, attaquant tout ceux qui passent prêt d’eux.
Les druides taurens, comme les druides elfes, recherchent la cause de ce mal, car le rêve émeraude doit être sauvegardé, et doit demeuré la demeure d’Ysera.
Mythologie et culture Taurahe.
La très ancienne histoire des Tauren est sauvegardée dans une série de mythes et de légendes. Ces chroniques vont de la création du monde à l’apparence des centaures, en passant par la création des taurens par la Terre-mère, leur étude du druidisme par Cénarius, et le commencement de la guerre contre l’envahisseur centaure.
Malgré la nature paisible des nobles taurens, les rites de la grande chasse sont vénérés comme étant le coeur de leur culture spirituelle.
Tout les taurens, guerriers ou autres, s’identifient avant tout comme des chasseur et des enfants de la terre-mère. Les taurens, jeunes ou vieux, ressente le besoin de prouver leur bravoure en tenant tête aux créatures sauvages les plus dangereuses.
Bien que les taurens tuent les animaux, ils ne gâchent jamais rien de ce que la nature leur donne, et donnent à la nature en retour tout ce qu’ils peuvent.
Ils comprennent le fonctionnement délicat de la balance existant au sein même de la nature, et savent que s’ils honorent la Terre-mère comme il se doit, elle leur accordera sa bénédiction en retour.
En dépit de leur taille immense et de leur force brute, les taurens, remarquablement pacifique, cultive une société calme, et tribale. Cependant, quand ils sont attaqués ou menacés, les taurens se montrent implacables, qui useront la moindre ressource de leur corps puissant pour fouler au sabot leurs ennemis.
Ils sont nobles et fiers, et n’ont jamais, malgré d’importantes adversités dans le passé, succombés à leurs ennemis.
Tout comme les orcs, les taurens luttent pour conserver leurs traditions et leur noble identité.
Foi.
Pour les taurens, la nature est la mère du monde, et leurs coeurs vibrent ensemble de la même force en cette foi pour Terre-mère.
Les taurens sont connectés aux flux et aux reflux de ce monde. Ils vénèrent les esprits du monde et de leurs ancêtres, et se tournent vers eux pour savoir comment agir de la manière la plus sage.
Cette connexion se manifeste par leur profonde culture animaliste, et les druides et chamans se tiennent côte à côte avec les guerriers et chasseurs, comme des frères.
Les taurens ne voient aucune séparation entre la vénération de la nature et la grande chasse : chasser, c’est honorer les esprits de la nature.
Langues.
Les taurens parlent le Taurahe, et l’orc. Ils se tournent vers l’apprentissage d’autres langue pour le commerce, ou l’échange d’idées avec d’autres cultures.
Les noms.
La langue Tauren est souvent sévère, et au son très lent et lourd, ce qui se reflète dans le nom de leurs enfants. Le nom d’un Tauren est composé de deux parties, le deuxième nom étant souvent un nom de famille, qui se transmet de générations en générations.
Si un Tauren commet un acte de bravoure, qui impressionne, les sages de sa tribus, il peut choisir de changer son nom, pour se rappeler de cet acte.
Les taurens ont de nombreux noms. Ils reçoivent un premier nom à leur naissance, puis un autre durant la cérémonie les faisant passer à l’âge adulte. Ce nom adulte est en rapport avec quelque événement ayant eu lieu dans leur vie, ou alors provenant d’une caractéristique notable. En voici quelques exemples :
Cache-Sombre, Né-de-la-terre, Demi-corne, Faiseur-de-cache, Surveille-la-rivière, Cicatrice, Sabot-de-bave, ou Courreur-de-vent.
Un Tauren peut aussi recevoir un troisième nom, qu’il utilisera dans ses échanges avec les étrangers.
Exemples de noms masculins : Azok, Bron, Turok, Garaddon, Hruon, Jeddek.
Exemples de noms féminins : Argo, Serga, Bessey, Beruna, Halfa.
Exemples de noms de familles : Corne-Sombre, Sabot-de-tonnère, Corne-tempête, Briseur-d’os, Marcheur-des-plaines, Marche-parmi-les-esprits.
LES TAURENS
Les taurens, (Shu’Halo en Taurahe, leur langue natale) sont d’imposants créatures humanoïdes, vivant dans les vertes et grasses plaines de Mulgore, au centre de Kalimdor.
Les taurens sont larges et musclés, et possède une apparence rappelant celle des bovins, complétée par des sabots, et des cornes. Ils sont généralement haut de six et demi à neuf pieds (approximativement entre deux et deux mètres soixante dix), et pèsent entre quatre cent et neuf cents livres (approximativement entre cent quatre vingt et trois cents vingt kilos).
Leur large corps est couvert d’une fine et courte fourrure, allant du noir jusqu’au gris, au blanc, au rouge, au marron, et de toute les combinaisons possibles entre ces couleurs, ou entre différentes teintes.
Après des générations d’une existence nomade, les taurens ont récemment établis une communauté permanente en Mulgore, et dans les Tarides.
Introduction.
Les plaines de Kalimdor ont longtemps été la demeure de ce peuple nomade. Le peuple Tauren est chamanique, chasseur, et guerrier, et a depuis très longtemps développé une culture très complexe, ainsi qu’un mode de vie naturel sans utiliser l’aide de la pierre, de l’acier, et même sans partir en guerre dans le but d’agrandir leur territoire. Il ne faut cependant pas croire que le peuple Tauren est pacifique, car ils sont capable d’une grande violence envers ceux qui les provoquent ou les attaquent.
Ils sont, en un mot, stoïques, et incarnent la force tranquille et silencieuse, méditant sur la nature ou sur leur âme.
Leur force, et leur taille, amènent n’importe qui à comprendre « pourquoi » les taurens représentent un peuple tranquille, mais dangereux.
Les taurens ne parlent rarement, et uniquement s’ils ont une bonne raison pour le faire. Ils préfèrent agir instinctivement plutôt que de perdre leur temps en bavardage.
Cependant, quand un Tauren s’attache à un compagnon, ils se montrent bien plus ouvert et peuvent même se lancer dans de grands échanges de paroles.
Même depuis que les taurens aient rejoins les autres peuples de la horde, et se soient mélangés avec orcs, trolls, réprouvés et autre elfes de sang, ils restent silencieux, et peuvent paraître ennuyeux pour ceux qui n’arrivent pas à gagner leur confiance.
Les taurens n’ont aucun amour pour les effusions de sang, car leur profonde croyance ne laisse pas de place pour la guerre.
Les sages et anciens d’une tribu règlent généralement et paisiblement la plupart des problèmes. Sinon, deux taurens peuvent résoudre un conflit par un échange rituel, qui ressemble fortement à un duel.
Depuis qu’il a joint la horde, le peuple Tauren a été impliqué dans de nombreux conflits, créant une forte demande pour leurs guerriers et soigneurs exceptionnellement fidèles, et résistants.
De nombreux jeunes taurens passent désormais leur temps à conter ou imaginer leurs exploits sur les champs de bataille passés, et à venir.
Prendre la vie d’un autre, homme ou animal, est un acte ayant une signification importante pour un Tauren responsable.
Histoire.
Les taurens possèdent une longue tradition orale, qui a traversé les âge de générations en générations. L’exactitude de leurs contes et légendes, en l’absence d’écrits, est inconnue. Néanmoins, leurs nombreuses histoires étant en relation avec les grands événements connus par le monde, il faut les considérer comme ayant une crédibilité certaine.
La race Tauren est aussi vieille, si ce n’est plus vieille encore que les elfes de la nuit. Ils ont un profond attachement en la nature et aux esprits élémentaires, tout comme de nombreux elfes de la nuit.
Ainsi, leur société est essentiellement basée sur le chamanisme. Ils vivent pour servir la nature, et tentent de maintenir l’équilibre délicat entre la nature sauvage de leur terre, et l’agitation des esprits élémentaires. De plus, de nombreux éléments druidiques, enseignés par Cénarius, puis oubliés durant des millénaires, reviennent désormais à la surface, soulignant encore plus leur amour et leur respect pour l’équilibre naturel et spirituel.
La présence de nombreux contes concernant Cénarius, avant même qu’il ne soit connu des elfes (la trilogie de la guerre des anciens montre que les elfes de la nuit considéraient Cénarius comme un conte pour enfant, avant qu’il ne se joigne à eux durant la guerre), et qui sont confirmés par d’autres sources crédibles indique qu’ils étaient civilisés et présents en Kalimdor avant la monté, et peut être même l’existence du peuple elfe en Kalimdor. La naissance de Cénarius y est même présente, et cette version confirmée par les sages et historiens elfes de la nuit, aussi bien que dans le livre « the sundering » (traduit par la fracture ? Si vous avez le tire original en français, merci de me le faire savoir) écrit par Richard A Knaak.
Guerre des anciens.
Selon la fresque historique basique, les taurens n’ont pas pris part à la guerre des anciens, les premières batailles contre la légion ardent en ce monde, environs dix milles ans plus tôt.
Cependant, Durant l’altération de la trame du temps, altération due à l’intervention de Krasus et de ses compagnons durant cette même guerre, ils finirent par joindre l’alliance contre la légion ardente, convaincus par le dragon mage Krasus de l’importance de cette guerre, et la nécessité de la présence des taurens.
Le commandant elfe de la nuit Desdel Oeilétoile (stareye, avez vous la traductions exact du nom français ?) refusa tout d’abord d’utiliser les taurens et leur incroyable potentiel physique, sous prétexte qu’ils tueraient des elfes de la nuit, et qu’ils étaient aussi impitoyable que les démons. Les Taurens étaient alors commandés par Huln Haute-Montagne. Après la perte « tragique » du commandant, les taurens furent redéployés au dernier moment par le nouveau commandant, Jarod Chantelombre. Ceux ayant survécus à la guerre ont gardé de bonnes ou du moins cordiales relations, avec les sentinelles.
La nouvelle horde.
D’innombrables générations après la guerre, les taurens ont courus les plaines des Tarides, chassant le kodo sacré et approchant la sagesse de leur divinité séculaire, la terre-mère.
Leurs cités de tentes étaient établies autour du paysage de Kalimdor, et changeaient de place avec les saisons ou selon le temps. Leurs tribus nomades ne furent unis que dans une haine commune de leurs maraudeurs ennemis, les centaures.
Au crépuscule de l’existence du peuple Tauren, le grand chef Cairne Sabot de Sang, désespérant de trouver de l’aide, se tourna vers les étrange « peaux vertes guerrières de l’autre côté des mers ».
Rapidement, Cairne se lia d’amitié avec le Chef de guerre Thrall et les autres orcs, et reconnu qu’ils partageaient le même amour pour l’honneur et la bataille.
De leur côté, les orcs et trolls sombrelances qui composent la nouvelle Horde ont trouvés beaucoup en commun avec les taurens. Chacun des peuples voulaient revenir à une culture chamanique complète, et les taurens, longtemps versés dans les voies des esprits et de la nature étaient bien préparés pour apporter conseil et support au chamanisme renaissant de la Horde.
Avec l’aide des orcs, Cairne et sa tribu Sabot de Sang ont été capable de faire reculer les centaures, puis de réclamer les grasses et vertes plaines de Mulgore. Pour la première en fois en des millénaires d’existence, les taurens possédaient une terre à nommer leur.
Pour cela, ils se sentirent débiteurs de leurs alliés, pour l’éternité.
Au sommet des pics des Pitons du Tonnerre, Cairne à construit le refuge dont il rêvait pour son peuple, un lieu ou taurens de toutes les tribus seraient les bienvenus. Puis, le temps passant, les tribus taurens s’unirent naturellement sous le commandement de Cairne.
Certes, certaines tribus sont en désaccord avec le chemin que fait suivre Cairne à son peuple, mais ils sont tous d’accord pour dire que leur chef est le candidat le plus apte à le mener vers un avenir meilleur.
Pour aider Cairne dans son devoir de chef, on retrouve l’archidruide Hamuul Totem-Runique et la sage Magatha Totem-Sinistre.
Bien que les taurens aient récupérés leurs terres, et se battent aux côtés de la horde, tout n’est pas si paisible au sein du peuple.
Ces derniers jours, la tribu Totem-Sinistre tente d’usurper le rôle de Cairne, et ils complotent pour le renverser et prendre sa suite.
Dans le même temps, le rêve émeraude, royaume du vol vert et de sa maîtresse Ysera, est atteint par un mal étrange. Le légendaire Malfurion est bloqué à l’intérieur, et les dragons verts commencent à agir de manière étrange, attaquant tout ceux qui passent prêt d’eux.
Les druides taurens, comme les druides elfes, recherchent la cause de ce mal, car le rêve émeraude doit être sauvegardé, et doit demeuré la demeure d’Ysera.
Mythologie et culture Taurahe.
La très ancienne histoire des Tauren est sauvegardée dans une série de mythes et de légendes. Ces chroniques vont de la création du monde à l’apparence des centaures, en passant par la création des taurens par la Terre-mère, leur étude du druidisme par Cénarius, et le commencement de la guerre contre l’envahisseur centaure.
Malgré la nature paisible des nobles taurens, les rites de la grande chasse sont vénérés comme étant le coeur de leur culture spirituelle.
Tout les taurens, guerriers ou autres, s’identifient avant tout comme des chasseur et des enfants de la terre-mère. Les taurens, jeunes ou vieux, ressente le besoin de prouver leur bravoure en tenant tête aux créatures sauvages les plus dangereuses.
Bien que les taurens tuent les animaux, ils ne gâchent jamais rien de ce que la nature leur donne, et donnent à la nature en retour tout ce qu’ils peuvent.
Ils comprennent le fonctionnement délicat de la balance existant au sein même de la nature, et savent que s’ils honorent la Terre-mère comme il se doit, elle leur accordera sa bénédiction en retour.
En dépit de leur taille immense et de leur force brute, les taurens, remarquablement pacifique, cultive une société calme, et tribale. Cependant, quand ils sont attaqués ou menacés, les taurens se montrent implacables, qui useront la moindre ressource de leur corps puissant pour fouler au sabot leurs ennemis.
Ils sont nobles et fiers, et n’ont jamais, malgré d’importantes adversités dans le passé, succombés à leurs ennemis.
Tout comme les orcs, les taurens luttent pour conserver leurs traditions et leur noble identité.
Foi.
Pour les taurens, la nature est la mère du monde, et leurs coeurs vibrent ensemble de la même force en cette foi pour Terre-mère.
Les taurens sont connectés aux flux et aux reflux de ce monde. Ils vénèrent les esprits du monde et de leurs ancêtres, et se tournent vers eux pour savoir comment agir de la manière la plus sage.
Cette connexion se manifeste par leur profonde culture animaliste, et les druides et chamans se tiennent côte à côte avec les guerriers et chasseurs, comme des frères.
Les taurens ne voient aucune séparation entre la vénération de la nature et la grande chasse : chasser, c’est honorer les esprits de la nature.
Langues.
Les taurens parlent le Taurahe, et l’orc. Ils se tournent vers l’apprentissage d’autres langue pour le commerce, ou l’échange d’idées avec d’autres cultures.
Les noms.
La langue Tauren est souvent sévère, et au son très lent et lourd, ce qui se reflète dans le nom de leurs enfants. Le nom d’un Tauren est composé de deux parties, le deuxième nom étant souvent un nom de famille, qui se transmet de générations en générations.
Si un Tauren commet un acte de bravoure, qui impressionne, les sages de sa tribus, il peut choisir de changer son nom, pour se rappeler de cet acte.
Les taurens ont de nombreux noms. Ils reçoivent un premier nom à leur naissance, puis un autre durant la cérémonie les faisant passer à l’âge adulte. Ce nom adulte est en rapport avec quelque événement ayant eu lieu dans leur vie, ou alors provenant d’une caractéristique notable. En voici quelques exemples :
Cache-Sombre, Né-de-la-terre, Demi-corne, Faiseur-de-cache, Surveille-la-rivière, Cicatrice, Sabot-de-bave, ou Courreur-de-vent.
Un Tauren peut aussi recevoir un troisième nom, qu’il utilisera dans ses échanges avec les étrangers.
Exemples de noms masculins : Azok, Bron, Turok, Garaddon, Hruon, Jeddek.
Exemples de noms féminins : Argo, Serga, Bessey, Beruna, Halfa.
Exemples de noms de familles : Corne-Sombre, Sabot-de-tonnère, Corne-tempête, Briseur-d’os, Marcheur-des-plaines, Marche-parmi-les-esprits.