Pnjs de la Zone - Hurlevent

De son véritable nom « Jarl », abandonné au profit de « Benedictus » en vertu des traditions, l'Archevêque est un homme d'âge mur, cadet d'une famille de riches marchants de Lordaeron. Il est raconté qu'il trouva la Foi en survivant in extremis à une attaque de bandits. Dès qu'il eut récupéré de ses blessures, il se présenta comme aspirant, gravissant rapidement les rangs. Jarl était responsable de la Capitale de Lordaeron lorsque celle-ci fut frappée par l'invasion du Fléau ; après avoir fait tout ce qui était en son pouvoir pour d'aider la population à fuir le massacre, il évacua à son tour la Capitale, rejoignant le Sud d'Azeroth. Là, il fut bientôt assigné à la Cité de Stormwind, et le Conseil des Évêques envisageait de l'élever à leur rang ; la mort d'Alonsus Faol précipita l'ascension de Jarl, qui - estimé comme étant le meilleur successeur possible - ne fut finalement pas nommé Évêque, mais reçut directement la charge d'Archevêque.

Nouveau dirigeant des forces armées maritimes, sa réputation d'homme de fer le précède. Formé sur la presqu'île de Theramore, et spécialement conseillé par Jaina Proudmore, il a été désigné par le conseil des nobles pour mettre un terme aux actes de piraterie perpétrés par la Voile Sanglante et aux raids de la horde sur les côtes humaines. Pourtant, on raconte que l'Archevêque Bénédictus n'a pas grande confiance en lui – il aurait un passé plutôt douteux.

Alexander passe la plupart de son temps en mer, on peut néanmoins contacter ses officiers au port de Hurlevent.

Membre le plus ancien du conseil des nobles, il est considéré comme le représentant type de l'aristocratie. Survivant de la première guerre contre la horde, il a aidé à la reconstruction de Hurlevent et jouit d'un prestige sans égal au sein de la population. C'est un véritable héros populaire, acclamé par ses actions, et très ancré dans les traditions.
Il est immensément riche, car il possède des mines d'or dans tout le comté. Ce magnifique tableau est néanmoins obscurci par les déboires de son jeune héritier, Geoffroy Hautesterres, qui alterne entre boissons et charmantes elfettes...

On peut trouver le duc Théodore dans le donjon de Hurlevent, près des locaux du conseil.

Le baron Léo Castelcieux a vu ses terres tomber au mains des défias. C'était un seigneur aimé dans les marches de l'ouest, mais il a choisi de s'exiler à Hurlevent pour plaider sa cause en affaires politiques. Seigneur turbulent, aux fortes émotions, il dégage en lui l'énergie de son père, très grand paladin de la deuxième guerre, mort au combat. Sa mère qui gérait le domaine, une haut-elfe magicienne, membre du concordat argenté, est repartie pour Dalaran et siège maintenant parmi les plus puissants. Léo a déjà tenté diverses incursions militaires pour libérer ses terres, toutes infructueuses. On raconte qu'il y a dépensé toute sa fortune – les plus vielles personnalités du conseil des nobles semblent se moquer de lui à ce sujet.
Pourtant, s'étant comporté de manière héroïque dans le débarquement en Norfendre, Léo Castelcieux a acquis un rang militaire : il a été nommé chevalier et est autorisé à porter le titre « de Hurlevent ».

Léo vagabonde souvent dans les rues de la ville, escorté de son meilleur ami nain, Vengis Crânedefer.

La beauté de la comtesse est sans égal. Même les elfes sont jalouses de ce visage parfait, de ce corps séduisant, de cette poitrine abondante et de ces hanches vertigineuses. Mais la belle n'est pas sans défense. Bien qu'encore un peu jeune pour assoir une stature politique considérable au conseil, elle a la réputation de mordre dans le vif en matière de politique. Elle est née dans un domaine très ancien, dans les Carmines, et son sang est parmi le plus noble de la région. Elle a décidé spontanément d'aller à Hurlevent, laissant la garde du comté à son frère, Edric, qui peine à rétablir la situation. Personne ne connait les raisons de ce retour, mais une chose est sûre : elle ne hait rien de plus que les jouvenceaux et les chevaliers qui prétendent l'aider dans sa détresse – elle n'a besoin de personne, dit-elle.

La comtesse est pratiquement introuvable dans la ville. Par contre, sa dame de confiance et de compagnie, Deborah, qu'on trouve souvent à la banque d'Hurlevent, peut éventuellement arranger des rencontres.

Deux des nobles les plus influents et les plus puissants du conseil. Habitués aux manœuvres politiques depuis des lustres, ils sont extrêmement redoutables sur l'échiquier du pouvoir. Originaires des bois de la pénombre, bien que leurs terres soient ravagées, ils logent à Hurlevent. Leur noblesse n'est pas très ancienne et ils contrebalancent ce handicap par des moyens réputés comme douteux. Malgré tout, leur intelligence et leur richesse – accumulée personne ne sait comment – a fait d'eux des adversaires difficiles à vaincre, rusés et prêts à tout pour atteindre leurs objectifs.

D'après la population, Louis et Catherina se détestent, comme de pires ennemis, des rivaux. Pourtant, c'est de concert que leurs manipulations s'effectuent. Il est souvent arrivé que des nobles, d'un sang ancien, se fassent complètement détruire politiquement par les « Vicomtes de l'ombre » après les avoirs ouvertement provoqués.
Louis et Catherina occupent des luxueux appartements dans le quartier des mages.

Autre personnalité importante du conseil, l'imposant Jorun n'est pas d'origine noble. Il a gagné son titre après avoir aidé à la reconstruction financièrement parlant de Hurlevent. C'est un marchand de divers articles (peaux de crocillisques, …) venant de Baie-du-butin extrêmement prospère qui ainsi à acquis le titre de Seigneur. Néanmoins, la religion l'a alors interdit à commercer d'avantage, à l'acquisition de son titre de noblesse, et malgré tout il semble conserver une imposante fortune. Assez vieux mais tout de même considéré comme un arriviste, il n'en reste pas moins un allié utile à tous dans le conseil, et d'une inexplicable raison il semblerait que Jorun n'ait aucun ennemi – du moins, aucun ennemi déclaré.

Les agents de Jorun peuvent être contactés partout dans Hurlevent. Ils fréquentent en général le quartier des marchands.

Seul militaire a être présent au conseil, Thibolt semble pourtant accorder une grande importance à la politique – au grand damne de l'armée Royale qui aimerait le voir agir à propos des problèmes de sécurité au sud liés principalement aux ogres, aux worgens et aux trolls de Strangleronce. Pourtant, Thibolt, jeune, n'a que quelques terres dans les Carmine et n'a pas, selon le conseil, la puissance du sang nécessaire pour assumer une telle charge de protecteur des terres du sud. C'était la décision du maréchal Windsor, qui l'a nommé à ce rang, avec l'approbation du Roi, et personne n'en a compris la raison. Thibolt a la réputation d'être un homme d'action, efficace, et on raconte qu'on ne doit pas le sous-estimer. Il est encore bien jeune et nimbé de mystères... En tous cas, il semble être très pieu.

On peut trouver le Seigneur Thibolt dans la caserne de Hurlevent, où il semble le jour longtemps s'entretenir avec ses officiers.